Pointe de Vouasson

Pointe de Vouasson

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Pointe de Vouasson

Avec cet article sur la Pointe de Vouasson en alpinisme, je vous propose un format spécial, la “fiche technique”.

Mon but est de concevoir des fiches techniques détaillées de certaines sorties sur le modèle des topo-guides.

Sorties de randonnées à pied, de randonnées en raquettes, de randonnées à skis, de sommets en alpinisme.

Ces sorties sont détaillées avec un texte “pas à pas”, des altitudes, des points GPS (ici, CH1903) des endroits importants et caractéristiques. Le tout entrecoupé de photos prises à différents endroits et en suivant le texte.

Enfin, un résumé des points importants : dénivelé, horaire, etc…

Premier support

Voici  le texte détaillé accompagné de photos de cette sortie.

Pointe de Vouasson

Je vous emmène aujourd’hui découvrir un sommet glaciaire facile au cœur des Alpes Valaisannes, en Suisse : la Pointe de Vouasson – 3489m.

C’est un sommet situé en Valais central, entre le barrage de la Grande-Dixence et le village d’Evolène.

Ce sommet fait partie d’une chaîne montagneuse séparant le val des Dix et le val d’Arolla, dans le prolongement nord des Aiguilles Rouges d’Arolla.

La Pointe de Vouasson (ou de la Vouasson) culmine à 3489m d’altitude. Du sommet, la vue à 360° est extraordinaire sur les montagnes du Valais, de l’Oberland, et du massif du Mont-Blanc.

C’est un sommet vraiment accessible, en initiation glaciaire, surtout en y montant en 2 jours, avec une nuit à la cabane des Aiguilles Rouges – 2810m ( 1000m le 1er jour, et 750m le second jour).

Mais il est possible, pour les montagnards entraînés, de réaliser cette ascension à la journée, en partant tôt de La Gouille (1675m de dénivelé positif).

Le glacier de Vouasson, présent sur le plateau supérieur, est peu raide et très peu crevassé.

  • Il est intéressant de faire cette ascension en début de saison, quand la neige est encore bien présente au-dessus de la cabane, ou en début d’automne s’il a reneigé un peu, cela sera plus agréable. En fin de saison d’été, le glacier peut être en glace vive, et l’approche sur des moraines en cailloux plus pénible. C’est comme cela qu’il est expliqué aujourd’hui.
   Cotations : F – I     

 

  La première ascension touristique connue est celle de A. de Torrenté, F.O. Wolf et X. Wuilloud avec P. Vuignier et M. Mabillard, le 18 juin 1868.   

  En patois, “vouassâ” signifie “passer un torrent à gué”, ce qui suppose des terrains humides et marécageux. Autrefois il fallait traverser divers torrents pour accéder à l’alpage de Vouasson. Le nom de l’alpage a été transmis au sommet.

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Situé dans le Val d’Hérens, 3 km avant Arolla, au lieu-dit La Gouille, ce sommet s’atteint depuis l’accueillante et confortable cabane des Aiguilles Rouges – 2810m.

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Historique de la cabane

En 1947, Hans Ueli von Waldkirch, étudiant en médecine et membre du Club Alpin Académique de Genève (CAAG) se tue lors de l’ascension de l’arête de Bertol. Ses parents décident alors de consacrer la somme prévue pour ce qui aurait dû être l’installation de son cabinet médical, à la construction d’un refuge de haute montagne, en sa mémoire.

Le choix du site se fixe à 2821m d’altitude, au pied des Aiguilles Rouges d’Arolla, dans le Val d’Hérens, sur le territoire de la commune d’Evolène. Le refuge est situé dans un endroit où la vue est vaste et magnifique, permettant aux alpinistes qui voulaient effectuer la traversée des Aiguilles Rouges d’Arolla de se reposer avant de partir à l’attaque de cette course longue et difficile.

La cabane des Aiguilles Rouges, voilà un nom tout trouvé pour ce refuge implanté au pied de cette montagne gigantesque.

La cabane a été réalisée en 1948 et inaugurée en juin 1949. Maurice Maître, charpentier ayant participé à la construction, en devient le premier gardien. A cette époque, il n’avait aucun lien direct possible avec sa famille et la vallée. Pour les annonces importantes, un messager courait jusqu’à la cabane lui apporter l’information. S’il y avait un accident aux Aiguilles-Rouges, le gardien ou une autre personne devait descendre pour donner l’alarme.

En ce qui concerne l’approvisionnement (le bois, les boissons et la nourriture nécessaire pour les gardiens et les hôtes), durant les premières années, un mulet assurait le transport en montant des Haudères à la Gouille (petit hameau de la vallée), puis par le Lac Bleu jusqu’à la cabane. S’il y avait encore de la neige sur le chemin, il fallait décharger le mulet et porter le chargement à dos d’homme. Plus tard, l’avion assurait le transport du bois et le larguait aux alentours du refuge ou, si c’était du matériel fragile, le déposait en amont sur le glacier, d’où il fallait le descendre jusqu’à la cabane. Depuis 1967, les approvisionnements se font essentiellement par les hélicoptères d’Air-Glacier.

Au printemps 1973, Maurice Maître décède brusquement. Sa femme Françoise lui succède avec ses deux fils Bernard et Jean-Maurice. A la fin 1993, c’est Bernard Maître qui succède à sa maman. Anne son épouse, Manon et Marie, ses filles, viennent souvent l’aider.

Les matériaux utilisés pour cet ouvrage ont été les pierres qui se trouvaient sur le lieu ainsi que le sable des moraines se trouvant à proximité. Ils n’étaient que 8 ouvriers sur le chantier, dont sept venaient d’Hérémence et un d’Evolène, Maurice Maître. Ces personnes ont mis un peu plus d’un an pour construire le refuge.

Le premier toit de la construction était fait en tavillons (bardeaux), sorte de planchettes en bois, spécifiquement suisse, qui protège des intempéries.

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Le plan de la cabane d’origine était assez simple. Il se constituait d’une cuisine à droite de l’entrée principale. A gauche, le logement du gardien ressemblait à une cabine de bateau. La cuisine s’ouvrait sur l’unique réfectoire que l’on pouvait atteindre depuis l’entrée principale par un corridor (encore actuellement). Sur le côté gauche du corridor, un escalier monte au 1er étage. On y trouvait un dortoir pour 3 personnes (réservé à la famille Waldkirch), ainsi que deux autres dortoirs capables d’accueillir 21 alpinistes ou randonneurs. Sur le côté gauche du corridor, on trouve également deux petits locaux, un pour la réserve de bois et l’autre organisé pour être une « salle de bain », mais qui se révèlera être un local pour entreposer les matelas puis, par la suite, un petit local technique. Depuis 1956, un réservoir captant l’eau dans un lac en amont de la cabane permet un approvisionnement en eau. Il y avait également une cave qui n’était accessible que depuis l’extérieur. En effet, la première cabane était en quelque sorte « primaire ».

C’est en 1975 que l’on décide d’agrandir la cabane car elle se révèle être trop petite. La cabane primitive perd alors les vitrages des fenêtres de la façade nord, mais garde les volets ainsi que l’ouverture des fenêtres pour permettre d’utiliser l’espace hors-saison. On passe alors de 21 à 80 places pour dormir, grâce aux quatre dortoirs supplémentaires. Le grand réfectoire rajouté est en bois à l’intérieur et en pierre des alentours, comme pour la première cabane. Pour la construction de l’agrandissement, il a fallu miner un grand rocher derrière la cabane.

Le toit en tavillons a été remplacé par un toit de cuivre et recouvre toute la surface de l’ancienne et de la nouvelle cabane. Les hélicoptères d’Air-Zermatt ont amené le ciment et le bois. Le sable et les pierres ont été pris sur place.

Pour ces travaux, il y avait neuf maçons, deux charpentiers, trois menuisiers et deux ferblantiers-couvreurs. Leurs outils de travail étaient très rudimentaires. Ils ont du faire la fouille avec des pics et des pelles. Cette prouesse est encore plus impressionnante quand on sait où elle a été effectuée.

En 1986, le téléphone arrive à la cabane, remplaçant les différents Talkie-Walkies. En 1988, les panneaux solaires apportent un gain d’énergie fort appréciable.

La cabane reste cependant étroite et le gardien manquait d’intimité et d’espace. C’est pourquoi, en 1991, le Club Alpin Académique de Genève décide à nouveau d’agrandir. Ils construisent une annexe en bois au rez-de-chaussée. Ils profitent également des travaux pour bétonner le sous-sol et créer une salle d’eau alimentée par l’eau récupérée du toit pour le gardien et sa famille.

On agrandit la cuisine, aménage un réfectoire supplémentaire, un local pour le gardien et ses aides et une voie intérieure pour permettre de descendre à la cave l’hiver.

Le mur extérieur de cette nouvelle annexe est fait de poutres en mélèze. Cette partie du refuge est légèrement courbée : ce sont cinq hommes qui ont forcé sur ces longues lames de mélèze afin de les arrondir.

Désormais la cabane des Aiguilles Rouges compte 322 m2 et tel un caméléon, se confond avec le paysage.

Ces dernières années, le CAAG manque de relève et, vu la tâche de rénovation qui se dessine dans les années à venir, cherche à remettre la cabane.

Le 2 novembre 2011, lors d’une assemblée extraordinaire, le CAAG se trouve devant un choix difficile : le CAS de Montreux et l’Association de la cabane des Aiguilles Rouges, créée six mois auparavant espèrent reprendre la cabane.

Lors de son vote, l’assemblée attribuera la cabane à l’Association de la cabane des Aiguilles Rouges. C’est avec un énorme plaisir que l’association accepte de relever le défi de remettre la cabane dans les normes « incendie » et « hygiène » demandées actuellement.

Agrandissement

2016 : Terrassement et fondations

2017 : Charpente, tôles, portes et fenêtres

2018 : Dernière étape avec l’installation des sanitaires

2019 : Finitions et inauguration le 22 juin 2019

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www.aiguillesrouges.ch

Email : cabane@aiguillesrouges.ch

Téléphone : +41 (0) 27 283 16 49

Gardiennée de mi-mars à mi-avril et de fin juin à fin septembre (70 places).

Boissons, repas simple et demi-pension possible quand la cabane est gardiennée.
La cabane dispose d’un téléphone ou d’une liaison radio d’urgence même en dehors des périodes de gardiennage. Autrement réseau mobile Swisscom disponible à proximité immédiate de la cabane.
En période de gardiennage, Visa et Mastercard acceptée.

Hors périodes de gardiennage, la cabane est toujours ouverte (35 places, bois de chauffage, électricité, vaisselle, crocs). Possibilité de cuisiner en l’absence du gardien.

(Les photos suivantes montrent la cabane en mode non gardiennée).

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Accès

Depuis la vallée du Rhône, en Suisse, plus précisément à Sion, on remonte une grande partie du Val d’Hérens, en passant par Vex, Euseigne, Evolène, Les Haudères, pour s’arrêter à La Gouille (1834m), départ de la montée à la cabane. Parking en bord de route.

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Premier jour

Montée à la cabane des Aiguilles Rouges

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De La Gouille (1834m – E 604 005 N 100 259), charmant petit hameau aux beaux chalets anciens, suivre les panneaux indicateurs.

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On traverse le hameau.

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Juste après les chalets, prendre à gauche, et suivre les marques blanches et rouges.

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On passe dans une petite gorge à l’ombre, direction Sud.

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Puis on traverse une forêt de mélèzes en rejoignant la bifurcation venant du hameau de Satarma.

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On quitte la forêt pour passer à travers des clairières vers 2000m d’altitude.

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Un peu plus loin, on approche du hameau de Louché.

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De beaux chalets bien patinés par le temps !

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Louché (2080m – E 603 324 N 099 886). “Le Petit Chalet de Louché – Chez Léon”.

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Le lac Bleu n’est plus très loin.

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Au loin, les Aiguilles Rouges d’Arolla (3646m).

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En 40 minutes, on arrive au lac Bleu d’Arolla (2090m – E 603 239 N 099 874), “Goutte d’azur au milieu des mélèzes et des arolles”.

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En été, ce lac à un charme fou !

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Le Lac Bleu d’Arolla

Paisible et retiré sur les hauteurs, le lac Bleu tire son nom du bleu vif qui le caractérise en été.
Le lac Bleu se trouve sur un plateau surplombant le val d’Arolla, qui porte le nom de l’arbre dominant les forêts de la région : l’arolle, également connu sous le nom de pin sylvestre (pinus cembra). Le bois aromatique de celui-ci est censé favoriser le sommeil. On en fait d’ailleurs des lits et des oreillers garnis de ses copeaux.

Traverser le petit pont sur le ruisseau et poursuivre vers l’Ouest en montant légèrement.

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Deux panneaux successifs indiquent la direction de la cabane.

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Derrière nous, majestueuses, les Petite (3183m) et Grande Dent de Veisivi (3418m).

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Et plein Sud, au fond de la vallée, la masse imposante du Mont Collon (3636m), et à sa droite, le sommet de L’Evêque (3716m).

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On passe à travers les derniers arbres…

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… pour progresser à travers des landes à arbustes (rhododendrons, bruyères, genévriers, etc…).

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Le sentier est un peu plus raide pour passer au-dessus d’une falaise, sur les pentes du Louché.

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A droite des Aiguilles Rouges d’Arolla, on aperçoit déjà la cabane des Aiguilles Rouges, perchée à 2810m d’altitude.

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Et toujours derrière, les Petite (3183m) et Grande Dent de Veisivi (3418m).

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On poursuit la montée par la traversée de grands plateaux herbeux.

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Et on arrive à la Remointse du Ché Blanc – 2422m – E 602 323 N 100 254 (ou du Sex Blanc). “Remointse”, un nom qui sonne patois ! Peut-être inspiré du mot « rèmize », qui signifie la remise en patois valaisan.

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La Remointse du Ché Blanc – 2422m, abri désaffecté sommaire.

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Peut-être apercevrez-vous un gypaète tournoyant dans ces montagnes ?

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Poursuivre au-dessus de la Remointse du Ché Blanc par un petit sentier entre les pierres.

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Derrière nous, les montagnes au-dessus d’Arolla resplendissent, dont la célèbre Aiguille de la Tsa (3667m), au centre de la photo.

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A notre gauche, le Mont Collon (3636m), le sommet de L’Evêque (3716m), et le Pigne d’Arolla (3787m).

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La cabane des Aiguilles Rouges (2810m) est juste en face.

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On remonte tranquillement en direction des vieilles moraines au loin.

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L’univers devient minéral sur les pentes nommées « Les Crosâyes ».

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Le sentier fait un grand lacet à droite pour repartir après vers l’Ouest, vers les Aiguilles Rouges d’Arolla.

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Il faut maintenant traverser longuement la moraine, tout en prenant peu d’altitude.

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On se retrouve « presque » sous la cabane !

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A 2791m d’altitude, on traverse le ruisseau descendant du vallon sur un pont en bois (E 601 352 N 100 824), puis on contourne une grosse moraine par la droite.

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On progresse sur cette moraine direction Sud-Est en alternant petites montées et descentes. D’autres grands sommets se dévoilent, dont la Dent Blanche – 4357m (au centre), et le Weisshorn – 4506m (tout à gauche).

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Et on arrive enfin à la cabane des Aiguilles Rouges (2810m – E 601 464 N 100 534). 3h.

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La cabane et son agrandissement récent sur la gauche.

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Petite visite du soir derrière la terrasse !

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Les derniers rayons du soleil éclairent encore les hauts sommets.

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Le sommet de L’Evêque (3716m) est magnifique au soleil couchant !

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Deuxième jour

Ascension de la Pointe de Vouasson

Dès les premières lueurs, on se prépare pour l’ascension.

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Voici une photo générale de la première partie de l’ascension.

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Au petit jour, on démarre en remontant la moraine descendue la veille, direction Nord-Ouest.

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Une fois dans le creux du vallon, on suivra longuement le flanc d’une immense moraine.

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La pente se redresse par endroits, mais la progression est facile.

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Avant la fin de la moraine, on montera sur sa crête pour atteindre un plateau (petit lac en été).

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Passer à droite de cette dépression et poursuivre toujours vers l’Ouest.

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A notre gauche, nous longeons les magnifiques Aiguilles Rouges d’Arolla et le Glacier Supérieur des Aiguilles Rouges.

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Derrière nous, le soleil se lève enfin !

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Continuer la progression vers l’Ouest en visant une profonde dépression.

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Les Aiguilles Rouges d’Arolla, une traversée célèbre en alpinisme !

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Le col approche.

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On préfèrera monter sur la bosse à gauche du « vrai » col.

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On arrive sur la dépression à gauche du col (3280m – E 599 785 N 101 771). Au loin, on aperçoit la cabane des Aiguilles Rouges.

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De l’autre côté, c’est le plateau glaciaire de la Vouasson, avec la Pointe de Vouasson tout au fond.

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Le glacier de la Vouasson est vraiment peu raide et « presque » sans crevasses. On le traversera direction Nord-Ouest jusqu’à la raide pente terminale.

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Au centre de la photo, le sommet le plus pointu, le Matterhorn (Cervin) – 4478m.

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Après la pente raide, il reste juste à gravir quelques rochers pour atteindre la belle croix sommitale de la Pointe de Vouasson.

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On arrive enfin à la Pointe de Vouasson (3490m – E 598 980 N 102 198). 3h.

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Du sommet, la vue à 360° est magnifique sur le lac des Dix en contrebas, le Grand Combin – 4314m à gauche, et le massif du Mont-Blanc tout au fond vers l’Ouest.

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Et au Sud, toutes proches, les Aiguilles Rouges d’Arolla (3646m).

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Vers l’Est, d’autres grands sommets du Valais, la Dent Blanche (4357m), le Matterhorn (4478m), et la Dent d’Hérens (4174m).

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Matterhorn (4478m) et Dent d’Hérens (4174m).

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Panorama vers le Nord-Ouest…

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Vers l’Ouest, une partie du massif du Mont-Blanc avec le Mont Blanc (4810m) à gauche.

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Le Grand Combin (4314m).

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Redescente

Reprendre les traces pour retourner au col à la fin du glacier de la Vouasson.

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Puis plonger dans la combe, plein Est.

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Puis les traces s’orientent vers le Sud.

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En restant rive gauche du torrent, les traces nous conduisent au petit pont en bois (2791m – E 601 352 N 100 824) traversé la veille.

De là, reprendre l’itinéraire pour redescendre à La Gouille. 4h.

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Points pratiques essentiels

Montée à la cabane des Aiguilles Rouges

Point de départ : La Gouille (1834m – parking)

Durée montée : 3h00

Orientation : Est

Difficulté : T1 (Facile)

Dénivelé positif : 1000m

Altitude départ : 1834m

Altitude arrivée : 2810m

Ascension de la Pointe de Vouasson

Durée montée : 3h00

Durée descente : 2h00

Orientation : Est

Difficulté :  PD (Peu Difficile)

Dénivelé positif : 750m

Dénivelé négatif : 750m

Altitude départ : 2810m

Altitude arrivée : 3490m

Descente de la cabane des Aiguilles Rouges

Durée descente : 2h00

Orientation : Est

Difficulté : T1 (Facile)

Dénivelé négatif : 1000m

Altitude départ : 2810m

Altitude arrivée : 1834m

Deuxième support

Voici la carte (au 50 000e) de cette ascension, avec l’itinéraire.

Carte Vouasson

Troisième support

Voici le tracé GPS de la sortie, pour ne pas vous perdre (si vous avez un GPS !).

Trace GPX de la Pointe de Vouasson

 

Bonne course…

 

Bien sûr, si vous ne vous sentez pas de partir seul, n’hésitez pas à faire appel au service d’un professionnel de la montagne, un Guide de Haute Montagne.

 

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