Le Grand Paradis
Le Grand Paradis – 4061m
Si vous avez du mal à sortir sereinement en montagne sur un terrain inconnu, je me propose de vous aider dans vos sorties.
Voici la fiche technique détaillée du sommet du Grand Paradis – 4061m.
Cette sortie est détaillée avec un texte “pas à pas”, des altitudes, des points GPS des endroits importants et caractéristiques. Le tout entrecoupé de photos prises à différents endroits et en suivant le texte, et de vidéos prises par le drone de mon client Jimmy Pepin (merci à lui).
Enfin, un résumé des points importants : dénivelé, horaire, etc…
Voici la fiche technique pour l’ascension du Grand Paradis – 4061m, en alpinisme.
Le sommet du Grand Paradis se situe en Italie du Nord, dans la vallée d’Aoste (cette province a des frontières communes avec la Suisse et la France). Il est au cœur du Parc National du Grand Paradis. Le Valsavarenche est la vallée au centre du Parc National.
Premier support
Voici le texte détaillé accompagné de photos de ce sommet.
Le Grand Paradis peut se gravir au départ du refuge Victor Emmanuel II, ou depuis le refuge Chabod. La voie d’ascension la plus classique et facile part du refuge Victor Emmanuel II. Les glaciers sont peu crevassés, et la trace est toujours faite. Du refuge Chabod, la course a plus d’ambiance, la voie passant sur un glacier beaucoup plus crevassé. Les deux voies se rejoignent à 3750m pour une fin commune.
Montée au refuge Victor Emmanuel II
Départ de Pont Breuil (1950m, E 359 478 N 5042 775), terminus de la route au fond du Valsavarenche (grand parking, camping, épicerie, restaurant, bar).
Du parking, partir vers l’Est et traverser le pont enjambant le torrent Savara. Suivre la rivière par une large piste. Arrivé devant le refuge Tetra Lire (1991m, E 359 865 N 5041 797, refuge, restaurant, bar), prendre un petit sentier qui part à gauche, traverse un pont en bois, puis monte en lacets réguliers dans la forêt de mélèzes.
Le versant boisé raide cède progressivement la place aux pelouses alpines.
A partir des ruines de “Chanté” (2372m, E 360 476 N 5041 590), la pente est moins raide et la vue s’élargit sur les sommets alentours.
Au cœur de l’été, un immense troupeau de chèvres fréquente ces alpages. Vers le Sud, les beaux sommets caractéristiques du Ciarforon (3640m) et du Becca de Monciair (3554m) sont visibles.
A 2700m d’altitude (E 361 642 N 5041 447), juste avant le refuge, on arrive au croisement du sentier partant vers le refuge Chabod (panneau).
Puis c’est l’arrivée au refuge Victor Emmanuel II (2732m, E 361 700 N 5041 420). 2h30 de montée depuis Pont. Le refuge principal est le plus gros, la petite maison derrière étant le refuge d’hiver. Une petite chapelle est édifiée entre les deux.
C’est un refuge du Club Alpin Italien (réduction si carte CAF), avec un petit lac à ses pieds. Avec un chemin de montée très facile, le refuge est accessible à la journée aux randonneurs chaussés de baskets et aux familles avec de jeunes enfants.
Suivant la période, en début d’été surtout, il peut rester beaucoup de neige autour du refuge, ainsi que quelques névés sur le haut du chemin d’accès.
Dans l’entrée, on dépose piolet, bâtons, corde, chaussures. Il y a des chaussons pour se changer.
L’accueil est sympathique et le personnel aux petits soins. Le refuge est spacieux, une pièce pour faire sécher les affaires, des douches chaudes payantes, et des petites chambres de 4 ou 5 personnes. Même s’il est ancien, ce refuge a un certain charme, avec son bois pâtiné.
A l’extérieur, la terrasse permet de se reposer tout en profitant de la vue superbe, face au Ciarforon (3640m).
Bref, c’est un endroit idyllique et reposant, avant la journée du lendemain !
Ascension du Grand Paradis – 4061m depuis le refuge Victor Emmanuel II
L’aller-retour pour l’ascension du Grand Paradis prend du temps. Il y a 1350m de dénivelé et de la distance.
Si on fait l’ascension et la descente jusqu’à Pont la même journée, on a intérêt à partir tôt le matin, souvent une heure avant le lever du jour. On prendra le temps de monter, de profiter du panorama au sommet, puis de redescendre au refuge, de se restaurer un petit peu, puis de rejoindre la vallée tranquillement.
Si on a la possibilité de passer 2 nuits au refuge, on pourra se permettre de partir au jour, tranquillement. On évitera la foule sur l’itinéraire, et surtout on sera presque seuls pour accéder au rochers du sommet, où c’est en général l’embouteillage et souvent la “foire” ! On pourra vraiment profiter du sommet, ce sera vraiment le Paradis !
Dans les deux cas, on prendra le temps de prendre un petit déjeuner copieux. On aura aussi pris la précaution la veille de demander à remplir son thermos avec du thé chaud, et à le récupérer au petit déjeuner.
On démarre en passant entre le refuge et la chapelle, pour traverser horizontalement vers le Nord une zone de blocs rocheux (traces de sentier).
De l’autre côté, on suit le bon sentier qui serpente dans les pelouses puis grimpe plus sèchement une haute moraine.
En haut de cette moraine, près du torrent qui coule à notre gauche, on arrive à la bifurcation entre les deux itinéraires (début et fin de saison) (2855m, E 362 030 N 5041 947). Prendre tout droit vers l’Est pour remonter la vallée glaciaire.
Il peut rester beaucoup de neige dans cette vallée en début de saison, alors qu’elle sera toute sèche et minérale à partir du milieu de l’été.
Au fond de la vallée, partir vers le sud, et quand la pente se redresse et que la neige apparaît, mettre les crampons et s’encorder (3160m, E 363 134 N 5042 113) puisque le glacier est juste au-dessus.
Gravir cette première pente raide vers la droite pour se retrouver sur un plateau glaciaire peu raide. La vue se dégage sur le massif du Mont-Blanc.
Au fond du plateau, passer une bande rocheuse en partant à gauche, puis attaquer (3450m, E 363 458 N 5041 613) la deuxième pente raide du glacier du Grand Paradis. Continuer vers le Sud en se rapprochant de la rive gauche du glacier. On est maintenant au soleil.
On domine le glacier de Moncorvé tout en bas au Sud, et les beaux sommets du Ciarforon (3640m) et de la Tresenta (3609m).
S’orienter maintenant vers l’Est, et atteindre une dépression d’où arrive la trace venant du refuge Chabod (3760m, E 364 208 N 5041 512). Puis passer une petite arête neigeuse facile, pour atteindre un grand plat (col, 3850m, E 364 553 N 5041 420) entre la Becca di Montcorvé (3869m) à droite et le Grand Paradis (4061m) à gauche.
Sur ce grand plat, on pourra faire une belle pause.
Poursuivre vers le Nord par une courte pente raide souvent glacée pour atteindre le plateau supérieur.
La marche est lente à cette altitude.
Viser un petit col neigeux sur l’arête finale, à droite d’un beau gendarme. Une rimaye avant le col pourra poser un problème suivant sa largeur.
Si cette rimaye est infranchissable, des échelles métalliques sont installées à demeure.
Au petit col (3994m, E 364 771 N 5041 796), poser les bâtons, et remonter au mieux les rochers au-dessus, côté Ouest de la crête. Si le terrain est sec, on pourra aussi laisser les crampons et le piolet.
Le passage est un peu aérien. Une grande dalle plate à traverser, un bloc à franchir, puis vient la petite traversée aérienne, versant Est, où des spits permettent un assurage efficace (laisser quelques mètres de corde entre chaque membre de la cordée).
Deux photos du passage de la traversée en conditions totalement différentes.
Au sommet
Puis c’est l’arrivée à la célèbre “Madone” (4058m, E 364 731 N 5041 869). 5h00 depuis le refuge. Les personnes sont heureuses, au Paradis !
Malgré tout, la “Madone” se gagne !
Le point culminant du Grand Paradis comporte deux sommets, la pointe de la Madone (4058m) et le « vrai » sommet, plus au nord (4061m), plus délicat et technique.
Pour aller au “vrai” sommet, descendre en un petit rappel de 5 mètres depuis la “Madone”, puis escalader les rochers de la crête jusqu’à un cairn (4061m, facile mais délicat !).
Le panorama est fantastique, avec au Nord-Ouest le massif du Mont-Blanc, et au Nord-Est le Cervin (4478m) et le massif du Mont Rose.
Vidéo prise d’un drône, depuis le sommet du Grand Paradis (Images fantastiques ! merci Jimmy PEPIN).
Au Sud-Est, le plus haut sommet de la Vanoise est proche : la Grande Casse (3855m). Alors que plein Sud, dans le lointain, on aperçoit le Mont Viso (3841m), dernier grand sommet avant la mer.
Mais il est temps de redescendre !
Désescalader les rochers et récupérer piolet, crampons et bâtons. Puis redescendre par le glacier dans les traces.
Si on est allé au “vrai” sommet, depuis le pied du rappel, traverser en face Ouest sous les rochers de la “Madone” et rejoindre les rochers de descente.
A la fin du glacier, se décorder, puis finir tranquillement jusqu’au refuge par la trace prise à l’aller (3h00 depuis le sommet).
Variante quand les pentes inférieures du glacier du Grand Paradis sont en glace.
Quand l’itinéraire “normal” n’est plus en conditions, que les pentes raides sont en glace, les gardiens affichent à l’accueil une photo de la variante de fin de saison.
Depuis le refuge, partir par la trace jusqu’en haut de la moraine. On arrive à la bifurcation entre les deux itinéraires (début et fin de saison) (2855m, E 362 030 N 5041 947). Traverser le torrent au mieux, et gravir la grosse moraine en face (rive droite de la vallée glaciaire). La remonter sur son fil jusqu’à 3030m d’altitude (E 362 490 N 5042 263).
Ne pas continuer sur la moraine mais traverser horizontalement sur la gauche par une petite trace. Elle contourne une haute falaise par la gauche, puis se perd dans des dalles rocheuses plates. Remonter ces dalles au mieux vers l’Est (cairns). On retrouve la sente qui remonte des pentes rocheuses et traverse des plateaux désertiques.
Toujours vers l’Est, atteindre un col rocheux (3400m, E 363 446 N 5042 372), d’où l’on aperçoit une autre vallée glaciaire, le glacier de Laveciau.
On pourra faire une pause, et admirer le paysage, en particulier le massif du Mont-Blanc. La suite de l’itinéraire est bien visible. Descendre dans des rochers de quelques mètres, puis au bord du glacier s’équiper (crampons, corde).
Le glacier de Laveciau est beaucoup plus crevassé que sur la voie normale, et il faudra être encore plus prudent (encordement long). On zigzague entre les crevasses jusqu’à rejoindre l’autre itinéraire venant de Victor Emmanuel II, au niveau de la dépression (3760m, E 364 208 N 5041 512). La suite est commune aux deux itinéraires.
Pour redescendre du sommet, on repassera bien entendu par ce même itinéraire, en faisant une pause bien méritée à ce col rocheux, une fois sorti du glacier.
La suite est sans problème jusqu’au refuge Victor Emmanuel II.
Cette variante est légèrement plus longue que la voie normale.
Montée au refuge Chabod
Depuis le petit parking de Pravieux (1830m, E 360 439 N 5045 011), traverser le torrent fougueux par un pont.
Puis suivre un bon sentier qui monte en lacets dans une forêt de mélèzes.
C’est une belle montée assez rude, au milieu d’une nature préservée. Au bout d’ 1h30, des bancs invitent à une pause panoramique (2140m, E 361 014 N 5044 682).
Plus haut, on passe par les maisons de Lavassey (2194m, E 361 249 N 5044 932). Poursuivre en passant derrière les maisons et en partant sur le chemin de droite. On débouche bientôt au-dessus de la forêt.
De nombreux lacets remontent le versant plein Ouest à travers les prairies alpines. La face Nord-Ouest du Grand Paradis est de plus en plus visible.
Les sommets et glaciers se dévoilent.
En début d’été, il peut rester de la neige sur le sentier d’accès au refuge, et les sommets sont encore bien blancs.
Arrivé sur un plateau, on longe le torrent Costa Savolera qui vient du glacier du Montandayné.
Un dernier virage devant un local de captage des eaux, et l’on arrive sur la plate-forme du refuge Chabod (2710m, E 362 514 N 5044 471). 2h30 de montée depuis Pravieux.
Le refuge Chabod est un beau bâtiment, agrandi et rénové récemment, avec un accueil à la hauteur. Belle salle à manger, douches chaudes payantes, eau potable, pièce pour entreposer le matériel et faire sécher les affaires.
Le bar est bien achalandé, et la restauration de qualité. Possibilité de dormir en chambres ou en dortoirs.
Après le dîner, on peut profiter de la terrasse, avec ses superbes couchers de soleil sur le Grand Paradis.
Ascension de Grand Paradis – 4061m depuis le refuge Chabod
L’aller-retour pour l’ascension du Grand Paradis prend du temps. Il y a 1370m de dénivelé et de la distance.
Si on fait l’ascension et la descente jusqu’à Pravieux la même journée, on a intérêt à partir tôt le matin, souvent une heure avant le lever du jour. On prendra le temps de monter, de profiter du panorama au sommet, puis de redescendre au refuge, de se restaurer un petit peu, puis de rejoindre la vallée tranquillement.
Si on a la possibilité de passer 2 nuits au refuge, on pourra se permettre de partir au jour, tranquillement. On évitera la foule sur l’itinéraire, et surtout on sera presque seuls pour accéder au rochers du sommet, où c’est en général l’embouteillage et souvent la “foire” ! On pourra vraiment profiter du sommet, ce sera vraiment le Paradis !
Dans les deux cas, on prendra le temps de prendre un petit déjeuner copieux. On aura aussi pris la précaution la veille de demander à remplir son thermos avec du thé chaud, et à le récupérer au petit déjeuner.
Depuis le refuge, on aperçoit presque tout l’itinéraire de montée, jusqu’à sa jonction avec la voie venant de Victor Emmanuel II.
Depuis le refuge principal, partir à droite du refuge d’hiver vers l’Est en suivant un petit sentier montant légèrement.
Arrivé au ruisseau (10mn), traverser horizontalement vers le Sud sur un plateau pour aller chercher une autre grosse moraine (2810m, E 363 013 N 5044 030). La remonter sèchement jusqu’à 2900m (E 363 203 N 5043 849).
Traverser alors sur des éboulis en direction du glacier (terrain un peu chaotique, avec traces de sentier).
On arrive sur le glacier, au début recouvert de pierres (3040m, E 363 425 N 5043 239).
Dès que la glace apparaît, chausser les crampons et mettre la corde !
Progresser vers le Sud en évitant les zones de crevasses. Suivant la saison, les crevasses sont plus ou moins bouchées. On reste en général au centre du glacier, mais en zigzaguant beaucoup !
Ce glacier de Laveciau est beaucoup plus délicat et crevassé que celui du Grand Paradis, sur l’autre itinéraire.
Certaines années, certaines crevasses sont de véritables gouffres.
A partir de 3450/3500m d’altitude (E 363 867 N 5042 015), le glacier devient moins raide, et on progresse plus directement.
A 3700m d’altitude (E 364 243 N 5041 551), partir franchement vers l’Ouest pour surmonter une pente raide et arriver à une dépression d’où arrive la trace venant du refuge Victor Emmanuel II (3760m, E 364 208 N 5041 512).
La suite est commune aux deux itinéraires.
Descente du refuge Victor Emmanuel II
Après l’ascension du Grand Paradis depuis Victor Emmanuel II ou depuis Chabod, il est facile et rapide (1h15 – 1h30) de redescendre sur Pont, dans le Valsavarenche (800m de dénivelé).
Si on est parti du refuge Chabod, de Pont, un peu de stop permet de rejoindre en quelques minutes le parking de Pravieux.
Points pratiques essentiels
Montée au refuge Victor Emmanuel II – 2732m
Point de départ : Pont Breuil (1950m – parking)
Durée montée : 2h30
Orientation : Ouest
Difficulté : T1 (Facile)
Dénivelé positif : 800m
Dénivelé négatif : 20m
Distance : 5,4 km
Altitude départ : 1950m
Altitude arrivée : 2732m
Téléphone : +39 016595920
Site internet : http://www.rifugiovittorioemanuele.com
Confort : Demi-pension, eau potable, couvertures, douches chaudes, bar, pique-niques
Ascension du Grand Paradis – 4061m depuis le refuge Victor Emmanuel II
Durée montée : 5h00
Durée descente : 3h00
Orientation : Ouest
Difficulté : PD (Peu Difficile)
Dénivelé positif : 1350m
Dénivelé négatif : 1350m
Distance : 8,4 km
Altitude départ : 2732m
Altitude arrivée : 4061m
Matériel : Piolet, crampons, casque, baudrier, corde, kit crevasse, 4 mousquetons simples
Montée au refuge Chabod – 2710m
Point de départ : Pravieux (1830m – parking)
Durée montée : 2h30
Orientation : Ouest
Difficulté : T1 (Facile)
Dénivelé positif : 920m
Dénivelé négatif : 40m
Distance : 6,5 km
Altitude départ : 1830m
Altitude arrivée : 2710m
Téléphone : +39 016595574
Site internet : http://www.rifugiochabod.com
Confort : Demi-pension, eau potable, couvertures, douches chaudes, bar, pique-niques
Ascension de Grand Paradis – 4061m depuis le refuge Chabod
Durée montée : 5h00
Durée descente : 3h00
Orientation : Nord-Ouest
Difficulté : PD (Peu Difficile)
Dénivelé positif : 1370m
Dénivelé négatif : 1370m
Distance : 12 km
Altitude départ : 2710m
Altitude arrivée : 4061m
Matériel : Piolet, crampons, casque, baudrier, corde, kit crevasse, 4 mousquetons simples
Descente du refuge Victor Emmanuel II
Durée descente : 1h30
Orientation : Ouest
Difficulté : T1 (Facile)
Dénivelé positif : 20m
Dénivelé négatif : 800m
Distance : 5,4 km
Altitude départ : 2732m
Altitude arrivée : 1950m
Descente du refuge Chabod
Durée descente : 1h30
Orientation : Ouest
Difficulté : T1 (Facile)
Dénivelé positif : 40m
Dénivelé négatif : 920m
Distance : 6,5 km
Altitude départ : 2710m
Altitude arrivée : 1830m
Période d’ascension estivale : de Juin à Octobre
Carte : L’ESCURSIONISTA editore 1:25 000 N°9 Valsavarenche Gran Paradiso
Deuxième support
Voici la carte.
Troisième support
Voici les tracés GPS de la course, pour ne pas vous perdre (si vous avez un GPS).
1 – Tracé GPX de la montée au refuge Victor Emmanuel II
2 – Tracé GPX de la montée au refuge Chabod
3 – Tracé GPX du Grand Paradis depuis le refuge Victor Emmanuel II
4 – Tracé GPX du Grand Paradis depuis le refuge Chabod
N’hésitez pas à me laisser un commentaire…
Bien sûr, si vous ne vous sentez pas de partir seul, n’hésitez pas à faire appel au service d’un professionnel de la montagne.
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Merci François pour ces topos extrêmement bien détaillés et toutes ces belles photos !
Superbe aussi le film réalisé avec le drone.
A bientôt
Astrid